Origines de la race
Le Cane Corso que nous connaissons aujourd’hui est originaire de l’Italie Méridionale et plus particulièrement des Pouilles, de la Lucanie, de la Calabre et de la Sicile.
Ce chien de type molossoïde trouve ses origines, comme celles du Mâtin Napolitain, dans un ancêtre commun semblable, le molosse romain (appelé autrefois Canis Pugnax), qui aurait donné deux types :
– un type plutôt lourd et massif, duquel descendrait l’actuel Mâtin Napolitain.
– un autre plus léger et agile, lequel serait l’ancêtre de notre actuel Cane Corso.
Le Canis Pugnax n’est décrit dans aucun standard officiel de race puisque son existence remonte à l’antiquité. Il est décrit comme : « impétueux, d’une force inébranlable, attaquant même les taureaux barbus et poursuivant les sangliers monstrueux pour les détruire… »
Toutefois, le terme de « Cane Corso », pourrait quant à lui faire allusion à deux origines :
- La première, très ancienne, remonte à l’époque de l’Empire Romain et ferait écho aux légions romaines, autrement appelées « cohors ». Ces cohortes employaient des chiens puissants et agiles à leurs côtés, comme arme de dissuasion lors des batailles.
- La seconde allusion se baserait sur une approche plus contemporaine, l’approche d’un « Chien protecteur de cour », dont le travail du chien (cane en italien) serait de protéger le foyer ainsi que sa « cour » (kortos en grec).
Ce chien de type molossoïde trouve ses origines, comme celles du Mâtin Napolitain, dans un ancêtre commun semblable, le molosse romain (appelé autrefois Canis Pugnax), qui aurait donné deux types :
– un type plutôt lourd et massif, duquel descendrait l’actuel Mâtin Napolitain.
– un autre plus léger et agile, lequel serait l’ancêtre de notre actuel Cane Corso.
Le Canis Pugnax n’est décrit dans aucun standard officiel de race puisque son existence remonte à l’antiquité. Il est décrit comme : « impétueux, d’une force inébranlable, attaquant même les taureaux barbus et poursuivant les sangliers monstrueux pour les détruire… »
Toutefois, le terme de « Cane Corso », pourrait quant à lui faire allusion à deux origines :
- La première, très ancienne, remonte à l’époque de l’Empire Romain et ferait écho aux légions romaines, autrement appelées « cohors ». Ces cohortes employaient des chiens puissants et agiles à leurs côtés, comme arme de dissuasion lors des batailles.
- La seconde allusion se baserait sur une approche plus contemporaine, l’approche d’un « Chien protecteur de cour », dont le travail du chien (cane en italien) serait de protéger le foyer ainsi que sa « cour » (kortos en grec).
Ce chien molossoïde fut utilisé dans de nombreux domaines à travers le temps : chien de guerre, chien de garde, chien de protection, chien de troupeaux, chien de chasse…
Sa polyvalence, due à sa puissance et sa souplesse, en ont fait un chien parfaitement équilibré et s’adaptant à toutes les situations.
Toutefois, cette race a failli s’éteindre au milieu du XXème siècle, et c’est notamment grâce au travail de trois hommes, le Professeur Francesco BALLOTA, le Docteur Antonio MORSIANI et le Docteur Paolo BREBER, que la race a été sauvée et est devenue celle que nous connaissons aujourd’hui.
Il a été décrit pour la première fois au début des années 1970 par le Professeur Francesco BALLOTA et le Docteur Antonio MORSIANI comme étant « un chien molossoïde à poils courts, différent du Mâtin de Naples, semblable au Bull Mastiff, ressemblant au chien de Mayorque ».
Un programme de sauvetage a été lancé, et c’est cette fois-ci le Docteur Paolo BREBER, durant une exposition de 1974 à Foggia, qui recense 5 chiens se rapprochant le plus de la description préétablie.
Avec une vingtaine de spécimens commence alors le travail de récupération de la race en 1978.
C’est d’ailleurs à partir de ces mêmes vingt premiers spécimens que naîtra notamment Basil, un modèle incontournable pour le standard.
Entre 1980 et 1990, le travail de ces trois hommes continuera afin d’établir de façon stable et pérenne un véritable standard et de fixer le type du Cane Corso, permettant une homogénéisation des chiens de cette race.
Le Cane Corso a été officiellement reconnue par la Fédération Cynophile Internationale (FCI) pour la première fois en 1996 (à titre provisoire, puis définitif en 2007) qui l’a classé comme « chien de garde, de défense, de police et de pistage ».
Le Cane Corso fait partie des races reconnues également par le LOF et la Société Centrale Canine et il appartient au groupe 2 « Chiens de type Pinscher et Schnauzer, Molossoïdes et Chiens de montagne et de bouvier suisses », « Section 2.1 Molossoïdes, type Mastiff ».
Sa polyvalence, due à sa puissance et sa souplesse, en ont fait un chien parfaitement équilibré et s’adaptant à toutes les situations.
Toutefois, cette race a failli s’éteindre au milieu du XXème siècle, et c’est notamment grâce au travail de trois hommes, le Professeur Francesco BALLOTA, le Docteur Antonio MORSIANI et le Docteur Paolo BREBER, que la race a été sauvée et est devenue celle que nous connaissons aujourd’hui.
Il a été décrit pour la première fois au début des années 1970 par le Professeur Francesco BALLOTA et le Docteur Antonio MORSIANI comme étant « un chien molossoïde à poils courts, différent du Mâtin de Naples, semblable au Bull Mastiff, ressemblant au chien de Mayorque ».
Un programme de sauvetage a été lancé, et c’est cette fois-ci le Docteur Paolo BREBER, durant une exposition de 1974 à Foggia, qui recense 5 chiens se rapprochant le plus de la description préétablie.
Avec une vingtaine de spécimens commence alors le travail de récupération de la race en 1978.
C’est d’ailleurs à partir de ces mêmes vingt premiers spécimens que naîtra notamment Basil, un modèle incontournable pour le standard.
Entre 1980 et 1990, le travail de ces trois hommes continuera afin d’établir de façon stable et pérenne un véritable standard et de fixer le type du Cane Corso, permettant une homogénéisation des chiens de cette race.
Le Cane Corso a été officiellement reconnue par la Fédération Cynophile Internationale (FCI) pour la première fois en 1996 (à titre provisoire, puis définitif en 2007) qui l’a classé comme « chien de garde, de défense, de police et de pistage ».
Le Cane Corso fait partie des races reconnues également par le LOF et la Société Centrale Canine et il appartient au groupe 2 « Chiens de type Pinscher et Schnauzer, Molossoïdes et Chiens de montagne et de bouvier suisses », « Section 2.1 Molossoïdes, type Mastiff ».